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Présentation Abaddon Darkwood

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AuteurMessage
Abaddon Darkwood
Abaddon Darkwood
Messages : 5
Date d'inscription : 17/07/2013
Age : 25
Localisation : Lève la tête.

Feuille de personnage
Race: Dragon
Groupe: Professeur
Chambre: N°26
 Présentation Abaddon Darkwood Vide
MessageSujet: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptyVen 19 Juil - 15:00



Nom & Prénom

♦ Nom complet : Abaddon Darkwood (véritable nom --> Kanrialstrasz)
♦ Âge: 2550 ans
♦ Date de Naissance: 26 octobre en -537 avant J-C
♦ Race: Dragon
♦ Origine: Je ne me souviens plus vraiment...
♦ Matière enseignée : Histoire, Histoire des espèces.
♦ Avatar Utilisé: Yagami Raito de Death Note

Dans le miroir
Des cheveux bruns parfaitement coiffés, un visage angélique, personne ne pourrait se douter de ma véritable nature. Un costume noir, une chemise blanche, pantalon noir et des chaussures ébènes hors de prix. Le seul élément brisant cet aspect charmeur est mon regard. Mes yeux. Mes yeux sont d'un rouge rubis étincelant, et ce même regard était célèbre pour la sensation qu'il provoquait.  J'ai généralement toujours une cigarette ou un cigare à la bouche, le tabac n'ayant aucun effets sur moi. J’apprécie seulement son goût. Quoi qu'il en soit j'ai quelques cicatrices sur les mains et une légère balafre sur la lèvre inférieur gauche, ce qui accentue mon charme ravageur. Cet aspect tout à fait gracieux et attirant contraste énormément avec ma véritable apparence. (voir signature).

Sous ma forme draconienne ma taille atteint les quarante mètres de haut et le seul élément que l'on retrouve de mon apparence humaine est ces yeux rubis intimidants. Ma mâchoire inférieure ainsi que plusieurs régions de mon corps titanesque sont renforcées de plaques de métal gigantesques. Mes griffes de la taille d'un homme sont acérés et mes écailles d'un noir d'onyx tirant sur le rouge. On peut voir à la surface de mes flancs de nombreuses cicatrices de plus de cinq mètres. Sur ma poitrine on peut apercevoir une gigantesque entaille ayant été renforcée avec des centaines de plaques métalliques. Et surtout le détail interpellant surtout mes adversaires : Mes ailes. Mes ailes tout à fait "spéciales." Déchirés en certains endroits, elles reflètent les supplices que j'ai enduré avant de devenir l'un des plus puissants dragons de mon temps et peut être du monde. Enfin ceci est une autre histoire.      

-
Dans la tête


Par ou commencer ? Je suis d'un naturel rancunier, haineux et raciste envers certaines races. Après avoir travailler un millénaire pour un démon, vous vous doutez  bien que j'en suis pas ressortis vraiment indemne. J'ai tellement répandu de sang durant cette période que chaque nuit mes victimes me hantent. Pourtant je suis très protecteur envers ceux de ma race car j'estime que c'est la moindre des choses par rapport à ce que j'ai fais au Groenland. Un massacre, un bain de sang. Aujourd'hui je suis d'une froideur extrême et je m'énerve très facilement. Bien plus âgé que ne le laisse supposer mon apparence humaine, je suis en contrepartie assez sage et d'une intelligence commune à ceux de ma race. Contrastant avec  mon « sang chaud », il arrive que je m'attache assez facilement aux bonnes personnes. Je ferais généralement tout pour les protéger et garderais toujours un œil sur eux.  Cependant, ma haine envers les humains est tellement grande qu'il arrive souvent que des disputes éclatent par ce que quelqu'un a vanté les hommes.  
Dans le passé


Aaah, mon histoire. Elle est bien longue ma foi, et peu orthodoxe. Par ou commencer ? Et bien j'imagine par le commencement :

Retournons 2550 ans en arrière, en -537 avant J-C. Une dragonne du nom de Elmanariastrasz (ou plus communément appelée  « Elma ») avait prit la fuite vers les terres gelées du nord, suivis par son clan draconien  tout entier. Des dragons noirs. Tous sans exception. Ils s'arrêtèrent au niveau du Groenland et fondèrent leurs nids dans les terres arctiques. C'est là que je suis né. Mon œuf était déjà à cette époque d'une taille respectable, et je soutiens que selon moi je suis le plus grand de tout mon clan. On me donna le nom de Kanrialstrasz, prince du clan « Écaille d'onyx ». En effet, j'étais le fils héritier du souverain et véritable roi de notre clan, Neltharion. Une légende parmi les hommes, ainsi que parmi les dragons. C'était un gigantesque dragon aux cornes tordus, des cicatrices sur tous le corps. Ses griffes pouvaient briser la glace comme un vulgaire miroir humain. C'était le plus puissant des notres, ainsi que le plus sage. On dit qu'il serait né à la création du monde. L'un des premiers dragons de l'histoire. Neltharion régnait avec sagesse sur les Écailles d'onyx mais il manquait... Comment pourrais-je décrire ce petit quelque chose qui m'agaçait chez lui ? Ah oui. Sa faiblesse. Sa peur. Sa crainte des HOMMES. Oui vous voyez là, les toutes petites créatures inoffensives qui nous chassent depuis des siècles et que nous pouvons briser en marchant dessus ? Je ne comprenais pas pourquoi il avait tellement peur de ces êtres inférieurs. Après tout, nous sommes des DRAGONS. Que peuvent donc bien faire des humains contre notre puissance antique ?

Des années passèrent, et nous restâmes dans les terres désertiques et gelées durant près de 200 ans. J'avais atteint la taille des plus jeunes chasseurs à ce moment là. Genre dix-neuf mètres vous voyez ? Et plus je grandissais, plus ma curiosité s'amplifiait, plus ma fougue s'accentuait. Après une violente dispute avec mon père, j'ai fais un choix décisif : Je me suis envolé vers les terres du sud. La neige me crépitait au visage. Le froid me gelait. Au bout de quelques dizaines de minutes j’arrivais à la côte du Groenland, mon territoire. Je lançais un regard mélancolique derrière moi, perplexe. Ce pays était mon foyer. Comment pourrais-je les protéger si je ne savais pas ce qui m'attendait au delà de ces terres ? J'ai pris mon envol et pris la direction du sud-est. Droit vers ce qui s'appelle aujourd'hui l'Angleterre. L'air était si chaud par rapport à l'endroit d’où je viens que j'en tirais un plaisir grisant. Quand je me suis posé sur le sol bretons, j'ai pensé que c'était la terre promise pour tous dragons se respectant. Des plaines à pertes de vue, de hautes montagnes où les miens pourraient installé leurs nids. Le vent caressait mon visage écailleux. Et je ne me doutais pas une seule seconde que ce serait cette même terre qui provoquerait la perte de tous les miens. J'ai survolé les contrées anglaises, regardant les hommes travailler sur les plaines pour construire leurs misérables petites citées. Ils me craignaient et ils avaient raison. Je m'amusais à les survoler de très près, pour leur faire peur bien sur. A l'époque je ne voulais pas faire de mal. J'ai passer une semaine à explorer chaque recoin de ces territoires divins et ai finalement pris le chemin du retour. Je devais ramener les miens ici. Leur faire goûter à la liberté. Je suis retourné dans les terres gelées et ai demandé une audience auprès de mon père. Je pensais que ces yeux s'illumineraient en pensant aux splendides siècles que nous passerions dans les montagnes anglaises, mais sa réaction fût exactement le contraire. Il hurla à mon attention que ces terres étaient milles fois plus dangereuse que ce que j'imaginais et que jamais il ne déplacerait son clan sur ces terres. Ne comprenait-il pas ? Les hommes sont faibles ! Ils n'ont RIEN contre nous ! A part peut être des bouts de bois et des lances un peu piquante. Le courroux de mon père engendra ma colère. Mon arrogance de l'époque m'avait guidé. Je l'ai provoqué en duel singulier pour être à la tête des Écailles d'onyx.

De la surprise ? De la peine ? Du remords ? Tant de sentiments se lisaient dans les yeux noirs de mon paternel. Je le regardais droit dans les yeux, sur de moi, ne me doutant pas une seule seconde des enjeux d'un tel combat. Je ne pensais pas vraiment qu'il pourrait me tuer. Après tout j'étais sa progéniture. Son seul héritier ! Il ne pourrait pas vraiment tenter de m'arracher la vie non ? J'étais très, très loin du compte. A peine avais-je prononcé mes paroles qu'il s'était jeté sur moi. Ses griffes me laceraient les flancs.
Il planta ses crocs gigantesques dans mon épaule sans la moindre pitié. C'était devenu un prédateur, et j'étais sa proie. Je ne pouvais pas lutter. Il était bien trop puissant pour moi. Son poids m'écrasait, sa rage me terrifiait. Il me saisit par le cou et m'envoya contre un pilonne de glace qui s'effondra sur moi. J'étais vaincu. Déshonoré. Je faisais tout pour me relever, écumant de rage. Mon père me regarda rugir, gémir, tenter désespérément de soulever mon corps lourd et ensanglanté. J'aurais préféré qu'il me tue au lieu de faire ce qu'il a fait. Il me regarda droit dans les yeux, implacable, et déclara :

-Kanrialstrasz, mon fils. Je te renie, te refuse en tant qu'héritier. Je te bannis de ces terres et de ce clan que tu avais autrefois juré de protéger. Je te maudis pour ton orgueil et te souhaite mille et une souffrances parmi ces hommes que tu penses si inoffensifs. Va, maintenant, et ne reviens jamais.

Comment pourrais-je décrire avec de simples mots la fureur qui m'envahit se jour là ?
Même aujourd'hui je ne trouve pas de termes appropriés. J'étais tellement amoché que ma mère dût me porter jusqu'au rivage. Je pouvais voir dans ces yeux la peine mais aussi la honte qu'elle ressentait à mon égard. Elle me porta avec la plus grande douceur, comme si j'étais encore un jeune dragon venant tout juste de naître. Au moins ma propre mère ne m'avait pas trahis comme le reste de mon clan. Jamais je ne saurais décrire la honte que je ressentais. J'avais déçu celle qui m'avait donné le jour et jamais plus je ne pourrais me racheter. Elle me posa délicatement sur le sol canadien et retourna auprès des siens après m'avoir lancé un dernier regard empli de douleur. Je la regardais repartir parmi les misérables traîtres qui m'avaient jeter tel une ordure et fis le point.  Ainsi donc, j'étais un renégat ? Et bien je l'acceptais. De toutes les façons je pensais que j'allais y passer. Jusqu'au moment j'ai décidé de briser les liens que j'avais avec mon clan. J'ai brisé celui que j'étais pour devenir un autre. J'ai réussi à plus ou moins m'envoler et j'ai pris la direction de ma « terre promise ». Quitte à mourir, autant mourir sur une terre de rêve. Je m'écrasai non loin d'une cité humaine et fermait les yeux, attendant la mort.

Croyez moi, je n'ai jamais autant été surpris qu'au moment ou je me suis réveillé. Une humaine. Une humaine qui s'occupait de mes blessures. Cela allait à l'encontre des coutumes de nos deux races réunies. Quoi qu'il en soit cette humaine pansait mes blessures avec des plantes qu'elle semblait avoir cueillis récemment. Combien de temps avais-je dormis ?  Bonne question. Peut être des années. Lorsque la jeune femme remarqua que mon œil rubis était ouvert et le fixait, un sourire apaisant se dessina sur son visage angélique.

-Tu en as mis du temps pour reprendre tes esprits ! Je commençais à douter de mes talents !

Ce qui me frappa ce fût son courage exemplaire. Il me suffisait de lui donner un coup de patte pour qu'elle rejoigne ses ancêtres. Mais cette douceur m'intriguait, m'attirait. Je voulais savoir ce qu'elle pouvait m'apprendre et entendre ce qu'elle avait à me dire. Mon œil resta fixé sur elle tandis qu'elle me guérissait. Lorsque elle était épuisée, elle se couchait contre une paillasse qu'elle avait tissé à cet effet. Chaque nuit elle rapprochait sa paillasse de moi. Peut-être imaginait-elle que je ne la voyais pas. Les humains sont tellement anormaux vous savez. Quoi qu'il en soit un jour elle s'allongea contre mon flanc. En temps normal j'aurais repoussé cette humaine, l'aurais grillé et m'en serais servis comme repas. Au lieu de cela j'ai rabattu mon aile au dessus d'elle, en signe de protection. Le lendemain sa surprise fût aussi grande qu'heureuse. Elle était folle de joie que j'ai posé mon aile sur elle. Elle voyait cela comme un signe que les dragons n'étaient pas forcément que des bêtes sans cervelles, mais bien des créatures mystiques dotés d'une intelligence peu commune parmi les autres races. Sa joie m'apaisait, m'amusait, m’adoucissais. Un jour elle entreprit de m'apprendre sa langue. J'étais excellent. Sa langue était d'une simplicité déconcertante. Ainsi nous pûmes avoir mille et une discussion. Bien sur j'avais toujours compris sa langue, mais avant je ne pouvais lui répondre. Maintenant le dialogue était complet. Nous riions, nous amusions, jouions. Son rire était une véritable bénédiction. Sa beauté m'attirait. Jamais je n'avais vu une créature si belle. Ses yeux d'émeraude m'attiraient. Chaque jour mon cœur s’accélérait tandis que je la voyais émergée de sous mon aile. Elle me prenait régulièrement dans ses bras (elle ne pouvait prendre que mon cou mais le résultat était là). Tandis que ma taille augmentait, elle mûrissait. Sa beauté devenait de plus en plus éclatante. Oui, je sais ce que vous pensez. Et oui, c'est la vérité. J'étais amoureux d'elle. Lorsqu'elle dormait je m'entraînais. On m'avait apprit que la magie draconienne  permettait aux anciens dragons de prendre forme humaine. Alors chaque soir je faisais tous pour prendre forme humaine.

Ça a duré trois mois. Au bout de ce laps de temps, la métamorphose était complète. J'avais réussi. Un matin j'ai réveillé « Aurore », tel était son nom, et lui ai montré. Bien sur cela l'avait ébahis, mais sa surprise se mua en un rire éclatant. Elle m'apprit que les hommes ne pouvaient se promener nu en ville et devaient donc se vêtir de tissus. Une coutume inutile selon moi mais je n'insistai pas. Elle me donna quelques habits et m'emmena pour la première fois dans une ville humaine. Le seul élément qui trahissait ma nature était mes yeux rubis, je n'avais pas réussi à les transformer. Nous marchâmes une heure à pieds, tandis qu'elle m'apprenait à marcher tel un humain. Ma rage et ma colère d’antan semblaient avoir disparues. Du moins c'est ce que je croyais. Les marchés humains regorgeaient de vie. Des fruits, des légumes, de la viande aussi. Il y avait tellement de produits ! Je regardais les forgerons humains créer des armes de fer et d'acier dans le feu et le fracas du métal. Aurore me guidait, m'instruisait, m'apprenait de nouveau mots. Elle m'amena chez elle et c'est à ce moment là que tout a  basculé. Elle habitait dans une vieille auberge toujours remplie de monde. J'ai compris que sa mère et son beau-père étaient les propriétaires de ladite auberge. Et c'est là que ça c'est passé. Vous savez, les hommes ont créé ce qu'ils appellent « l'alcool ». Ce qui d'ailleurs les rend fous. Le père d'Aurore avait justement un peu trop bu ce jour là. Il s'approcha de sa fille et  lui dit quelque chose dans un langage tellement primitif que je n'en ai compris qu'un seul mots. « Catin ». Avait-il osé insulter mon humaine de catin ? Je m'approche de lui, lui demande de répéter sa phrase et la seule chose qu'il fît se fût de me frapper au visage. Aurore poussa un cri et tous les clients se mirent en rond autour du tavernier et de moi-même. Il fonça bêtement sur moi et je le frappais dans le torse de la même façon qu'il avait frappé. Le coup le projeta contre le mur du fond, qu'il brisa avec l'élan. Ma force était forcément bien plus conséquente que lui, mais certains humains sobres comprirent que quelque chose clochait. J'entendais des chevaux arriver devant le mur brisé. Sur eux se tenaient des hommes cuirassés d'armure de plaque d'acier, armés de longues épées . Ils tirèrent leurs épées et Aurore eut tout juste le temps de hurler :

-Kän !! SAUVE TOI !!

Mon sang n'a fait qu'un tour. J'ai abandonner ma forme humaine et me suis transformer en plein milieux de l'auberge, qui explosa de l'intérieur. Je m'envolai vers le ciel et fuyais en direction de la grotte. La peur d'Aurore m'avait fait comprendre la gravité de la situation. Une fois dans l'habitat que j'avais partager avec mon humaine, j'ai attendu un jour. Deux jours. Trois jours. Elle ne revenait pas. Ou était-elle ? S'était-elle perdu ? Je partis à sa recherche, survolant les contrées alentours. Après des heures de recherche je décidais de me rendre en ville de nouveau. Sous forme humaine j'ai demander à un vieillard où était passée la fille du tavernier :

« -Elle est aux mains des gardes messire, ça fait longtemps qu'ils ont dût la torturé ou la violé. Elle est considéré comme une sorcière pour avoir aider un dragon à s'enfuir. Elle sera brûlée ce soir. »

J'ai sentis une indescriptible rage me brûler les entrailles. Mon ardente colère me susurrait de me transformer et de brûler le village tout entier mais je me devais de faire bonne mesure. Je me suis dirigé vers la place du village et je l'ai vu. Aurore était attachée à un morceau de bois, sous une paillasse. Un homme s'approchait pour y mettre le feu. Cette fois-ci même le prétexte le plus logique n'aurait pu me retenir. Je me suis transformé dans une ruelle, ai prit mon envol et ai atterri sur la place, prenant soins de ne pas écraser ma bien-aimée. Je vomissais un torrent de feu sur la foule et tuais le bourreau d'un coup de croc. J'étais ivre de rage. Le feu brûlait toute la place. Je reprenais forme humaine et libérais Aurore. Elle était couverte de plaies et de blessures. Cette vue me fît m'emballer. Je rugissais avec une telle rage que même le plus courageux des hommes aurait prit la fuite. Je la prenais sur mon dos et m'envolais en tant que dragon. Je haïssais les humains pour ce qu'ils lui avaient fait. Aurore parvenait tout juste à s'accrocher à mon dos. J'ai vu du coin de l’œil le chef des chevaliers bander son arc dans ma direction. Curieusement sa flèche était noire.  Je me concentrais sur le vol et je sentis une douleur indescriptible dans ma poitrine. Je rugis de douleur et piqua vers le sol. Je haletais, suffoquais, souffrais le martyr. Je repris forme humaine et arracha la flèche noire de ma poitrine. J'entendais un cheval se diriger vers nous. J'ai rampé vers ma belle, et ça à ce moment là que j'ai vu son visage de près. Des larmes coulaient de ses yeux si magnifiques. Elle avait mal. Elle avait peur.  Cette vue m’endurcit, m'aguerrit. Je me retournais vers le chevalier et hurlant de colère, me transformai de toute ma taille. Cette homme était fort courageux. Beaucoup auraient fuis devant un grand dragon en colère. Il dégaina son épée et me chargea. Je fonçais sur lui, vomissant des torrents et des torrents de flammes. Celui-ci parvenu à brandir son écu et à survivre  je ne sais trop comment au feu. Il sauta de son destrier et frappa ma mâchoire inférieure de son épée. Je sentis les tendons se trancher et je remarquais avec horreur qu'il avait détruit celle-ci. Elle pendait du côté gauche, invalide. Ivre de douleur, je donnais des coups de griffes à l'aveugle en face de moi. Puis je m’envolai, pour sentir que cette imbécile était accroché à ma queue. Il se hissait, en direction de ma poitrine. Je montais haut, très haut dans le ciel à présent. Je savais comment le faire mourir. Au dernier moment j'ai piqué vers le sol, la gravité agissant d'elle même. Hors ce misérable était toujours bel et bien accroché ! Il se hissa à ma poitrine et planta son épée. Je rugis de douleur et m'écrasa sur le sol. L'humain avait survécu, je ne sais trop comment. Mon ventre était presque ouvert, et je sentais que la mort me guettait. L'avertissement de mon père me revint en pleine figure. Il avait raison. Les humains étaient réellement dangereux. Impuissant, je le voyais se diriger vers Aurore qui était restée en retrait, affaiblie. Mon regard croisa le sien une dernière fois. Elle dit quelque chose mais la douleur me rendait presque sourd. Le chevalier empala mon humaine et la vie quitta ses beaux yeux émeraudes. Je voulais le tuer. Le réduire en cendre, n'importe quoi qui pourrait lui faire du mal. Mais j'étais au sol, une mâchoire invalide, les ailes trouées par certains endroit à cause de la chute, le ventre ouvert. Je ne pouvais quasiment plus bouger. C'est alors que ça c'est produit. Des failles s'ouvrirent dans le sol, tandis que des dizaines de démons ont émergés. Le chevalier se fit trancher la gorge et se vida lentement de son sang. Les créatures se tournèrent vers moi et je perdis connaissance. Lorsque je me suis réveillé, je n'étais plus le même. Non seulement physiquement mais également mentalement. L'amour, la paix, l'affection, tout ces sentiments m'avaient quittés à jamais. Je sentais l'activité sur mon corps. Des centaines de démons me martelait et me collait quelque chose sur le corps. Lorsque j'ai claqué des dents, j'ai entendu un fracas métallique. La première surprise fût de voir que je pouvais de nouveau utiliser mes mâchoires , la deuxième fût d'avoir une mâchoire inférieure en METAL. Si, c'est la vérité. Ces démons utilisaient des milliers de plaques métalliques pour renforcer mes écailles ou panser mes blessures. Je les sentais renforcer mon entaille ventrale. La douleur était toujours présente mais atténuée. Je rassemblais mes idées et me mis à réfléchir. Les démons n'avaient point pour coutume d'aider un être vivant sans un but précis. Ma mère m'avait autrefois appris que ces êtres venaient des enfers et étaient dotés d'une intelligence et d'une ruse malsaine. Ils faisaient tout pour obtenir ce qu'ils voulaient. Pourquoi m'avoir sauver ? Je n'en ai aucune idée. Mais je savais à quoi m'attendre. Je me doutais bien que l'un deux viendraient me demander une faveur plus ou moins conséquente pour m'avoir sauver la vie. Et en effet quelques heures plus tard leur chef se présenta à moi. Il s'approcha  de ma tête et me dit :

-Dragon Kanrialstrasz. Aujourd'hui tu as une dette envers moi. Je veux que tu sorte d'ici et que tu ravage, tue et détruit pour moi durant 1000 ans. Un millénaire de servitude pour avoir sauver ta vie.

Qu'aurais-je pu dire? De toutes les façons je haïssais le monde pour m'avoir pris mon Aurore. Tuer me soulageais et c'est bien ce que je comptais faire une fois sortis. J'ai accepté et sortis de ma grotte en dragon nouveau. J'étais complètement cuirassé, et devenu d'autant plus redoutable à cause de ma douleur et de ma haine. Je haïssais les humains et je ne voulais que leurs morts à tous. Et ainsi pendant les 500 premières années j'ai massacré villages sur villages, toujours implacable. Toujours impitoyable. Jusqu'au moment ou Abaddon, tel était le nom de mon « patron. » me donna un ordre tout à fait différant.

Tout d'abord vous devez savoir qu'en 500 ans de pillages, de meurtres et de destructions j'ai eu le temps d'amasser une quantité respectable d'or. Une quantité TRES respectable. Le jour ou Abbadon vint me chercher, j'étais installé dans une grotte que ses démons m'avaient dégoté, couché sur de véritables montagnes de trésors tous plus prestigieux les uns que les autres. Des bijoux incrustés de rubis, d'émeraude, de topaze et de saphir.  Je gardais mon trésor jalousement, tandis que les hommes m'avaient rebaptisé « Kanrialstrasz le terrible, Le fléau des villages ». Je n'avais plus besoin de prendre forme humaine. Tous me craignaient et me respectaient. Les plaques installées par les démons me rendaient presque invincible. Aucun chevaliers ne pouvaient me blesser désormais. J'étais devenu celui que je suis aujourd'hui, l'un des plus terribles dragons que le monde ait jamais connu. Pour en revenir à la visite d'Abaddon, celui-ci se présenta à moi tel un roi. J'étais bien évidemment obligé de le servir. Je lui devais bien cela pour m'avoir sauvé la vie. J'inclinais ma gigantesque tête en signe de salut et il clama :

-Kanrialstrasz. J'en appelle à la dette que tu as envers moi. Il est temps désormais de déchaîner ta rage sur une cible de taille plus... Conséquente. Les dragons «  Écailles d'onyx » ont pactisé avec les anges et c'est pour cela que je t'ai sauvé la vie. Je t'ordonne de tuer Neltharion et de me rapporter sa tête. Tues tous les enfants et détruits tous les œufs que tu trouveras dans ces terres.

Jamais il ne m'a donné un ordre aussi agréable. J'ai acquiescé d'un signe de tête et me suis envolé en direction du Groenland, ma terre natale. Tellement de temps s'est écoulé... Pourtant rien n'avait changé. Les montagnes, les glaciers, tout était resté pareil. J’apercevais au loin les dragons noirs  autours des nids, les mères s'occupant de leurs enfants. J'avais un jour comme ces nourrissons. Aujourd'hui je suis bien plus qu'un dragonnet. Je suis devenu le plus puissant dragon du millénaire. Les vents se glissaient aux creux des mes ailes déchiquetées par les combats. Le froid nordique frappait chaque partie de mon corps colossal. Mes souvenirs de ce lieu ramenèrent mon antique haine envers mon père. Aujourd'hui il paierait. Les rugissements commencèrent, des dragons donnaient l'alarme à Neltharion. Tant mieux, je voulais qu'ils voient leur meneur chéri mordre la poussière. Certains tentèrent de m'arrêter en vain. J'arrachais la gorge d'un dragon qui tentait de me retenir et piquai vers la montagne principale. Des centaines de dragons s'accumulaient autour de moi. Certains me reconnurent avec effroi, d'autres tremblaient devant mon physique impressionnant. Je faisais environ dix mètres de plus que mon père. Celui-ci ne tarda pas à se montrer. Il se trouvait dans la salle principale en compagnie d'un ange et... De ma mère. Mes yeux rubis se plongèrent dans le regard de mon père, qui lui eût du mal à me reconnaître. Tandis que ma mère quand à elle comprit dès le premier regard qui j'étais. Elle semblait plus grande et avait quelques blessures le long de ses flancs. Pourtant elle avait garder sa beauté maternelle, ses yeux bienveillants étaient toujours les mêmes. C'est aujourd'hui que je me rendis compte à quel point elle m'avait manqué.  La crainte se lisait dans ses yeux et je me souvins avec douleur de la déception dans son regard lorsque elle m'avait laissé sur les côtes canadiennes. Ça faisait... Plusieurs siècles il me semble ? Le temps ne semblait pas l'avoir changé. Mon père, quand à lui, avait selon ma mémoire, bien changer. Son œil gauche était devenu d'un blanc laiteux et il était recouvert de cicatrices de guerre plus ou moins importantes. Il me regarda approcher et sembla se souvenir de moi. Comment je le sais ? J'ai vu ses griffes s’enfoncer dans la pierre et ses crocs blancs apparaître. Il me lança, écumant silencieusement de rage :

-Je me souviens de toi, Kanrialstrasz. Autrefois mon fils, mon seul hériter. Je me souviens d'avoir blessé mortellement et t'avoir laisser pour mort sur les côtes canadiennes. Comment ce fait-il que tu sois de retour en ces terres dont ta présence est insultante ?

-Et moi je me souviens, ô mon père, de ta faiblesse et de ton incapacité à diriger les Écailles d'onyx.      
Je me souviens m'être rebellé contre un roi que j’estimais trop vieux et trop faible pour gouverner. Aujourd'hui, en ces lieux, l'histoire ce répète. Des centaines d'années se sont écoulées depuis notre dernier combat, Neltharion. En ce jour, je te défis de nouveau pour le titre de souverain des Écailles d'onyx. Ta mort entraînera la destruction de ce clan et l'hécatombe  de centaines de dragons.  Aujourd'hui ton sang coulera sur le sol et tachera à jamais la neige.

Le vieux meneur, fou de rage, bondit sur moi en donnant de frénétiques coups de griffes.  Celles-ci frappaient misérablement contre les plaques qui me recouvraient le corps. Un seul mots traînait dans mon esprit. Pitoyable. Comment avais-je pu être vaincu par un adversaire aussi faible ? Une fois l'avoir laisser s’essouffler, je décidai de reprendre le dessus. Le plaquant au sol, je rugissais de triomphe et plantai mes crocs redoutables dans sa gorge. Il poussa un faible gémissement suivis d'un gargouillis venant de sa gorge déchiquetée. Je me penchai sur lui, satisfait de le voir agonisé durant ses dernières minutes :

-Maintenant les Écailles d'onyx te suivront dans la mort. C'est mon cadeau pour la chance que tu m'a offert. Me bannir m'a permit de devenir plus puissant que jamais je n'aurais rêver l'être. Tu chasseras avec ton clan dans la mort... A jamais.

Je regardais la vie quitter son regard pour qu'il ne devienne plus qu'un cadavre sans vie. Je me retournais et voyais les dragons me regardé avec effroi. Ils savaient tous ce qui allait ce passer. Beaucoup aurait fuis, mais ils sont tous restés immobiles, implacables. Ils me défiaient tous du regard. Leur courage me fascinait. Ce fût un tel bain de sang que je ne peux en décrire les détails. Je les tuais tous, homme, femme et enfant. Je brûlais les œufs, brisais les nids. Jusqu'au moment ou il ne resta qu'une seule dragonne. Une seule et unique survivante à ce carnage. Ma mère se dressait fièrement devant moi. Me regardant droit dans les yeux, attendant sa mort. Je m'approchais d'elle, lentement, puis arrivai à quinze centimètre de son museau. Je la fixais, puis après un long silence, dis d'une voix lente et grave :

-Pourquoi est-ce que ce jour là tu as laissé Neltharion me chasser ? Pourquoi as-tu laisser son seul héritier s'en aller ? Pourquoi m'as tu abandonner ?

Elle réfléchit, puis répondit d'une voix neutre, inflexible :

-Par ce que je savais que tu ne deviendrais aussi puissant que ton père qu'après avoir survécu au monde dans lequel nous vivons. Ta rage et ta colère t'ont menées jusqu'ici et t'ont poussées à tuer tes semblables. Jusqu’où ira tu ainsi ?
-Lorsque j'aurais combler ma dette envers Abaddon je vivrais en paix.

Elle ria et répondit :

Tu crois que le monde te laissera en paix ? Les hommes prennent tellement de place à présent... Nous ne pouvons plus vivre comme nous le faisions autrefois. La liberté ne nous appartient plus .  Nous devons désormais nous cacher de ces êtres que nous croyions inoffensifs.

Je réfléchis un moment puis murmurai, perplexe :

-Alors nous devrons abandonner nos foyers pour trouver un endroit sûr. J'abandonnerai mes richesses et partirai en quête d'un autre chez-moi. Un endroit ou je n'aurais plus besoin de vivre caché.

Ma mère regarda longuement et dit avec douceur :

Ton châtiment t'as apporté douleurs et haines, mais aussi la sagesse et le bonheur. Puisse tu vivre libre mon fils. Trouve toi un foyer. Vis heureux. Mon sort est entre tes mains.

Inflexible, je me détournai et déployai mes ailes :

-Tu m'as donner la vie, Elmariastrasz. Je te rends donc cette vie. Aujourd'hui nous sommes quitte.

Elle acquiesça avec peine, et avant que je décolle me lança, d'une voix que je n'avais pas entendu depuis des siècles :

-Malgré ta voix mon fils... Je suis fier de toi. Fais attention à toi, et survis. Adieu mon enfant.
-Adieu, mère.

Je m'envolai et pris la direction de l'Angleterre. Depuis la mort d'Aurore, aucune peine aussi forte ne m'avait assiégé. Ma mère était partis à jamais, et je me rendis compte que désormais j'étais réellement seul.

Abaddon m'attendait devant l'entrée de mon antre. Un sourire maléfique se dessina sur son visage quand il m’aperçut. Il sentait l'odeur du sang sur mes écailles, mes crocs et mes griffes. J'étais à jamais souillé. J'avais leur sang sur les mains et cette idée l'enchantait. Il me félicita et durant les 500 prochaines années m'envoya régulièrement tuer des anges, des villages ou des personnes qu'il n'appréciait pas. Je le servais aveuglément, tel une arme secrète. Il menaçait ses adversaires de me lâcher sur eux. Les 500 premières années de ma servitude ne m'avaient jamais posé problème. Mais la rencontre avec ma mère, le regard de mes semblables... Ils m'avaient fait comprendre. J'étais devenu un monstre au fur et à mesure de mon histoire. Aujourd'hui je l'accepte, je ne mérite plus le nom de « dragon ». Je n'en ai désormais ni le physique ni le mental. Bien sur personne n'arrivera à me le faire avouer, mais je me hais en vérité. Certains m'envie d'avoir un tel pouvoir. Mais qu'en ai-je fais ? J'ai tuer, tuer et tuer. Lorsque la mort me prendra, que verrais-je ? Mes victimes viendront-elles réclamées justice ? Quoi qu'il en soit mon pacte envers Abaddon avait été boucler. Le démon me salua et je m'en allais, en direction de mon antre que j'avais quitter pour massacrer une ville humaine. En approchant je remarquais que les choses avaient changées. Les hommes se déplaçaient à bord de monstres de métal brillants et ne portais plus d'épée. Je ne voulais pas m'attarder pour regardé leurs inventions et découvrit avec horreur ce qu'ils avaient fait. Mon antre avait été découvert et ils s'emparaient de MON trésor. Mes pulsions m'auraient poussées à les attaquer, les réduire en cendres et les broyer. Mais... Le sang avait suffisamment coulé pour aujourd'hui. Il fallait que je trouve un nouveau domaine. Et quelque chose me revint en tête. Je n'avais pas fais cela depuis un millénaire et quelques siècles. Je décidais de reprendre forme humaine et me baladait donc dans les rues de Londres. Comme je m'y attendais, une créature suivait ma trace. Le sang de dragon attirait énormément les créatures nocturnes. Le vampire tenta de m'attraper par derrière, mal lui en prit ! Je donnai un coup de coude en arrière, passai derrière lui et plaquai sa tête contre le goudron.

-Que quoi ?! Hurla la créature, mais qu'est-ce que t'es donc toi ?!

Un sourire carnassier se dessina sur mon visage :

-Ton pire cauchemar si tu ne me dis pas ce que je veux savoir.

Le vampire se débattit et j'en profitai pour attraper ses deux bras, un pieds sur son dos. Oui, vous savez tous ce que je vais faire. Lui aussi comprit et commença à me gémir  inutilement. Je reprenais, d'une voix emplie de douceur :

-Ou vont les créatures comme nous ? La nature ne nous offre plus sa protection désormais, il doit bien y avoir un endroit. Parle et je te laisserais peut être un bras.
-Je vous promets je n'en sais rien ! Pitié laissez moi !

Je commençais à tirer, avide de sang.

-NON ! Non attendez ! Il y a un endroit ! En France ! L'académie des anonymes ! Vous devrez prendre la Manche pour attendre le pays ! C'est tout ce que je sais !
-Dans ce cas...

J'arrachai ses bras par derrière et les jetai dans la pénombre. Le monstre hurla de toutes ses forces, ce qui m'agaça profondément. J'approchai de son corps et écrasai son misérable crâne sous mon talon. Satisfait, je laissais le vampire sur le goudron et m'envolai en direction de ce nouveau foyer. C'est là-bas que je pourrais vivre. Quitte à rester sous forme humaine. Quoi qu'il en soit je sais que mon histoire est loin de s'être terminée, et que le véritable combat se montrera peut être plus vite que ce que l'on crois. Une fois arrivé en France, je pris la direction de cette fameuse académie. Quelque chose me taraudait depuis mon départ. Je ne pouvais pas me montrer et annoncer que j'étais un dragon, dernier survivant de mon clan. Il me fallait trouver une nouvelle identité, une qui n’éveillerais pas de doutes. Mon prénom se porta  sur Abaddon, en hommage au démon qui m'avait sauvé la vie. Le nom fût plus ardus à imaginer. Je repensais à une image dominante de ce millénaire que j'avais passé à servir le mal, puis un  nom me vint à l'esprit. Darkwood. Pourquoi cela ?  Car je me souviens de ces images, les villages qui brûlaient sous la lune, les arbres qui flambaient torches de lumières, puis qui devenait noircis et terrifiant. Tel serait mon identité. Abaddon Darkwood.  J’aperçus enfin l'académie et m'avançai vers elle à grand pas. Tel était ma destinée. Tel serait ma voix à présent.

♦ On m'appelle Abba *_* (DEDICACE A MA NOPINNEEEE!!!!)
♦ J'ai 14 ans et oui je suis tout jeune et tout frais MOI !! (Je ne vise personne xD)
♦ Comment j'ai découvert le forum ? Grâce à un forum RPG partenaire de celui-ci ^^
♦ Qu'est ce j'en pense ? Le sujet est magnifique, le niveau est très haut, l'ambiance est festive : Juste parfait !
♦ Je viendrais NORMALEMENT tous les jours lors de l'année de scolaire à part si problème et moins souvent pendant les vacances. Et oui, Abba a besoin de se reposé lui aussi !
♦ J'ai lu le règlement: Validé par Wil



Dernière édition par Abaddon Darkwood le Sam 20 Juil - 12:37, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptyVen 19 Juil - 15:11

Welcome ♥
Alors avant tout, j'ai besoin de savoir dans quel groupe tu seras, tout en sachant qu'ayant plus de 2000 ans, tu ne peux pas être un élève. Ensuite, il serait préférable de mettre les images. Si tu as des difficultés pour ça, tu peux toujours me demander bien sur ^^.
J'attends les réponses, et je verrais ensuite pour le reste. Bonne chance !
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MessageSujet: Re: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptyVen 19 Juil - 21:53

Voili voilou j'ai placer les images et je demande l'entrée dans la classe d'habilitation, la seule classe pouvant m'accueillir avec mon âge de toutes façons ^^
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MessageSujet: Re: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptyVen 19 Juil - 22:03

Et bien je valide, j'attends de voir ce que va donner un vieux de 2550 dans une classe où on apprend à certains à lire... Tu es sur de vouloir mettre ton personnage dans ce groupe ? Il est vraiment fait pour les jeunes. Après, c'est comme tu veux, mais je ne vois pas ce les professeurs pourront lui apprendre, étant tous plus jeune que lui.
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MessageSujet: Re: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptyVen 19 Juil - 22:54

Je pense que Abba pourrait apprendre à vivre dans une société humaine puisque aujourd'hui les membres de sa race n'ont nul part ou aller. Ou alors il pourrait devenir professeur mais je n'ai jamais vraiment pensé à cette éventualité. Je pense qu'un poste de professeur serait peut être plus approprié étant donné les circonstances que tu as donné précédemment. Mmmh je ne sais pas, je n'y ai jamais vraiment pensé... Au pire donne moi ton avis sur ce qui serait le plus intéressant au niveau du personnage et je pourrais modifier quelque peu ma fiche en conséquence.
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MessageSujet: Re: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptySam 20 Juil - 10:09

Et bien en fait, je ne le vois absolument pas en élève, il est beaucoup trop vieux. Un professeur, oui. Reste à trouver une matière qu'il pourrait enseigner. Il faudrait quelque chose qu'il connaisse bien dans ce cas. Sinon il peut toujours faire parti du personnel, mais encore une fois, il faut trouver un truc qui t’intéresse. Ensuite, même en ne faisant pas parti de la classe d'habilitation, il devra quand même apprendre à vivre en société.
C'est à toi de voir, presque tous les postes sont libre de toute manière. On a juste un infirmier, un secrétaire et un professeur de français, philo et théâtre. Donc il te reste un paquet de truc de libre.
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MessageSujet: Re: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptySam 20 Juil - 10:13

Mmmh quelque chose qu'un dragon vieux de plusieurs millénaire pourrait enseigner...  Pourquoi pas l'Histoire ? Etant donner qu'il est très âgé il a pu assisté à énormément d'évènements importants dans l'histoire humaine mais aussi de différentes créatures magiques. Il pourrait enseigner son savoir aux élèves... Je pense que c'est la matière la plus accessible.
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MessageSujet: Re: Présentation Abaddon Darkwood  Présentation Abaddon Darkwood EmptySam 20 Juil - 11:07

Alors va pour l'histoire. Je me souviens aussi d'une matière qui était enseignée en option, sur l'ancêtre de ce forum, l'histoire des espèces, si ça te dit d'avoir deux matières. Merci de compléter ça dans ta fiche donc, moi en attendant, je te valide ^^.
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Présentation Abaddon Darkwood

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